Notre école

L'école Sainte-Geneviève est constituée de 9 classes et l'équipe éducative qui la compose comprend :

LES ENSEIGNANTS 

TPS/PS : Coralie LEJEUNE et Hélène SABOT

MS : Emmanuelle PARSY

GS : Elodie POPEK

CP : Estelle GILET 

CE1 : Laura PERRAULT

CE2 : Stéphanie DASTGHEIBI-FARD


CM1 : Raphaëlle GOETZ  et Hélène SABOT

CM2 : Jérôme REBESCO

ULIS : Dominique FUSALBA

RASED : Véronique DIETERICH

UPE2A : Sophie PELLETIER

LES AESH : Catherine CASSAGNANDE, Fatima ERWADI, Thérèse FOUCHé, Sarah BEN AMEUR

LE CHEF D'ETABLISSEMENT : Raphaëlle GOETZ

LA SECRETAIRE COMPTABLE : Edwige GIGUET

LES AIDES MATERNELLES : Béatrice FAVRE, Trécy DE PONTES, Maëva RASTELLO, Soeur JANVIERE

L'EMPLOYEE DE MENAGE : Dolorès LESUISSE

Les locaux 

Cour des maternelles

Classe des MS

Classe de CE2

Cour des primaires

Historique de notre école

1816 : la communauté des Soeurs de Saint-Joseph achète une ancienne maison rue d'Italie. L'école primaire s'installe avec un internat et un ouvroir avec 500 petites filles et 150 adolescents.

1859 : 1 200 jeunes de classes sociales modestes et pauvres reçoivent une éducation.

1903 : fermeture du pensionnat.

1909 : les Soeurs en civil et des institutrices laïques recommencent l'enseignement.

1939 : Mère Eléonore Picon inaugure un Institut ménager, les "Buissonnets" qui ferme en 1969.

1968 : le cours complémentaire est transféré au collège ND du Rocher.

1974 : le jardin d'enfants "les Oisillons" est inclus dans le contrat simple de l'école.

Qui est Sainte-Geneviève ?

                               Sainte-Geneviève est la protectrice et la patronne de Paris, et ne cesse d'être bienveillante                                              pour ceux qui savent l'invoquer avec foi.

Geneviève vint au monde vers 423, non loin de Paris, à Nanterre. 

Alors qu'elle n'était encore qu'une petite fille, elle fut remarquée lors d'un office religieux célébré dans la paroisse de Nanterre par Loup, l'évêque de Troyes et Germain, évêque d'Auxerre. Après s'être entretenu avec l'enfant, Saint Germain l'Auxerrois demanda à parler à ses parents.

_ Que vous êtes heureux mes amis, leur dit-il, d'être les parents d'une telle fille ! Sachez que les anges ont fait dans le ciel, du jour de sa naissance sur la terre, un jour de fête et un mystère de réjouissance. Cette petite sera grande devant le Seigneur; et il y en aura plusieurs qui, passant de l'admiration de sa vie à l'imitation de ses vertues, quitteront le péché, et renonçant comme elle, par la profession d'une vie sainte et religieuse, à la chaire et au monde, obtiendront par ce moyen, outre la rémission de leurs péchés, la récompense de la vie éternelle. 

La mère de Geneviève, Géroncia, ne croyait guère à la révélation de Saint Germain. Quelques années plus tard, elle défendit à sa fille de se rendre à un office religieux. Comme celle-ci insistait, elle la gifla, et fût aussitôt frappée de cécité. Géroncia resta plongée dans le noir pendant plusieurs mois jusqu'au jour où Geneviève puisa de l'eau et ne put retenir ses larmes en pensant au malheur qui frappait sa mère. A son retour, Géroncia lui demanda de faire le signe de la croix sur l'eau qu'elle venait de ramener. Geneviève s'exécuta, un peu surprise. Tout en se lavant les yeux, sa mère lui expliqua qu'ayant compris son erreur, elle avait demandé pardon au Seigneur et ne s'opposerait plus désormais à la vocation de sa fille. Et aussitôt, Géroncia retrouva l'usage de ses yeux.

A partir de 436, Geneviève passe beaucoup de temps à prier.

Lors d'une épidémie, en 448, Sainte Geneviève fit jaillir dans la forêt de Séquigny (Essonne), une source miraculeuse qui permit de guérir bon nombres d'habitants des environs. Suite à cet évènement, une chapelle fut construite à proximité de la grotte d'où l'eau jaillissait. La forêt finit par être défrichée autour de cette chapelle. Un petit bourg vit alors le jour, Sainte Geneviève des bois.

Le fait le plus connu de la vie de sainte Geneviève, se passe en 451, lors de l'invasion de la Gaule par Attila, le roi des Huns. Informés qu'Attila (après avoir ravagé les grandes villes de l'Est et du Nord de la Gaule) se dirigeait vers Paris, les habitants de la ville, terrifiés, voulaient s'enfuir. Mais cela n'était pas du goût de la Sainte, qui réussit à convaincre ses concitoyens qu'en priant ardemment le Seigneur, celui-ci protégerait la ville. Et alors que Paris regorgeait de vivres et de richesses, l'armée d'Attila s'en écarta.

Les prières de Geneviève avaient une puissance que tout le monde admirait.

De nombreux miracles jalonnent la vie de Sainte Geneviève, comme la fois où elle rendit la santé à un enfant aveugle, sourd et boiteux, en traçant le signe de la croix sur le front du petit, qui aussitôt fut guéri.

Mais sa vie ne se résume pas à ses miracles, elle fut aussi un guide spirituel. Pour Clovis et Clotilde, recevoir la visite de "la vierge de Nanterre" était un grand plaisir. À son contact, le roi et la reine s'enrichirent humainement. Clotilde trouvait en elle un soutien dans sa vie de chrétienne et sa fonction de reine, et Clovis apprit la charité; à distribuer des aumônes, il délivra des prisonniers, et fit bâtir des églises.

Sainte Geneviève mourut le 3 janvier 502, après une vie passée dans la pratique de toutes sortes de bonnes œuvres. Elle fut inhumée à Lutèce.

À toutes les époques de notre histoire, la mémoire de la patronne de Paris a été extrêmement populaire. Ses précieuses Reliques, déposées au Monastère des Saints-Apôtres devenu l'église Sainte Geneviève, accomplirent d'innombrables guérisons. Lors des grands périls: guerres, sièges, épidémies, famines, inondations ou incendies, le peuple venait en foule auprès de sa sainte; on faisait alors de grandes processions, la châsse des Reliques en tête, et Dieu ne manquait pas de montrer sa bienveillance par des Miracles, en réponse aux prières de Sainte Geneviève et à la foi du peuple de Paris.